Détective Conan Fan Club
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Détective Conan Fan Club

Le forum des fans de détectives
 
AccueilPortailDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion

 

 Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie.

Aller en bas 
5 participants
AuteurMessage
Sacha
Détective
Sacha


Messages : 5518
Date de naissance : 28/09/1989
Date d'inscription : 23/03/2014
Age : 34
Localisation : Ici

Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. Empty
MessageSujet: Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie.   Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. EmptyMar 8 Mai - 0:58

Aller, moi aussi je m'y lance, dites moi ce que vous en pensez et comment je pourrais m'améliorer.

Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie.

Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. 800px-AdamSmith

Qui est Adam Smith? S'il est reconnu pour être le "père des sciences économiques", c'est bien le seul point sur lequel on peut être d'accord.

Sur wikipédia, on peut lire que son oeuvre "la richesse des nations" est "l'un des textes fondateurs du libéralisme économique" (ce qui est vrai, mais à prendre avec des pincettes), ce qui pousse les défenseurs du capitalisme à le citer à tout bout de champs.
Or, paradoxe s'il en est, Adam Smith était ce qu'on peut appelé un "anti-capitaliste" avant l'heure. Il était totalement contre la recherche du profit rapide et surtout, il s'opposait férocement à l'esclavagisme qu'il jugeait non seulement immorale mais également un travail contre-productif.

Vous avez probablement entendu certaines personnes parler (souvent mal) du théorème de la main invisible.


Pour mieux comprendre toute cette histoire et le début de l'économie moderne, il faut comprendre ce qu'est la richesse d'une nation.

Qu'est-ce qu'il fait qu'un pays est plus riche qu'un autre? Une première idée serait qu'un pays, comme une personne, est riche s'il y a plus d'argent que le second.
Voilà d’ailleurs pourquoi Colbert, le ministre des finances de la France en 1665 donna des subvention pour l'exportation (ramener de l'argent dans le pays plutôt que le sortir par l'importation), taxa les importations et réglementa la productivité. Mais voilà, malgré ces mesures, au moment de financer les guerres (en particulier contre les hollandais), les britaniques, 3 fois moins nombreux, collectaient autant d'argent.

Cela parrait logique, l'argent n'a une utilité que lorsqu'il est dépensé. Avoir de l'argent est une chose, mais s'il reste dans les mêmes mains, alors ça ne sert à rien.
C'est pourquoi les Physiocrates, adhérant d'une école de pensée lancée par François Quesnay, ont donc amenée une autre idée :
La richesse ne dépend pas de la quantité d'argent que possède le pays, mais de la circulation de cet argent.
+Si un pays possède 10000 milliard de dollars, mais répartis chez 1% de la population qui ne les dépenses qu'entre eux, alors il n'y a que très peu de production et d'évolution du pays.
+En revanche, si un pays possède 100 fois moins de dollars, mais que cet argent est dépensé et circule chez 100% de la population, alors chacun produit et le pays s'enrichie vite.

L'idée est donc de ne surtout pas freiner cette circulation d'argent par des lois modulant la circulation de la richesse. Nous assistons donc à la naissance de ce que Marx appellera plus tard l'économie capitaliste.


C'est ainsi qu'en 1776, un philosophe écossais tenta d'expliquer le capitalisme dans son oeuvre "Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations".
(Vous pouvez le lire ici)

Cet ouvrage se divise en 5 parties. Je ne raconterais pas tout ici, seulement un résumé de ce que j'estime être le plus important.


En premier lieu, Smith parle de la division du travail. Un principe très important qui oblige à comprendre que si vous achetez du pain chez le boulanger, ce n'est pas que lui qui est derrière ça. Il a fallu avant tout planter du blé, cultiver la terre et couper et ramasser le blé. Mais pour le couper, il faut un outils, et ce n'est pas le paysan qui fabrique la faux pour faucher le blé.
De plus pour fabriquer la faux, il faut du bois et du métal, qui ne sont pas produit par le forgeron, mais par un bucheron et un mineur. Ces derniers ont également eu beoin d'autres personnes pour repérer la mine de fer, fabriquer la pioche, la hache, planter les arbrespour le bois, etc...
Vous vous rendez donc compte que déjà, seulement pour ramasser le blé, il faut déjà une multitude de personne. Et ce n'est pas parce qu'on a le blé qu'on a le pain. Pour ouvrir une boulangerie, il faut également plusieurs étapes qui demande pour chacune d'elle une multitude de personne.
Autrement dit, vous, tout seul, ne pouvez pas ouvrir une boulangerie en faisant vous même toutes les étapes. Il vous faudra forcément acheter à un moment le travail de quelqu'un d'autre.

Mais voilà, si vous ouvrez votre boulangerie, vous ne trouverez personne qui vous fournira ce travail dont vous avez besoin gratuitement. L'agriculteur ne va pas couper le blé juste pour que vous puissiez ouvrir votre boulangerie. Il le fera parce qu'il a à y gagner. Nous ne devons donc pas compter sur l'altruisme des autres, mais sur leur égoïsme.
Voilà la notion la plus importante qu'on peut probablement trouver dans cet ouvrage.

Bien évidemment, si l'agriculteur agit de façon égoïste, il a intérêt à vendre son blé très cher. Mais s'il le vend trop cher, une autre personne proposera le même produit moins cher pour récupérer les clients. Au final, la concurence permet de rééquilibrer des prix fixés de façon égoïste. (Cette notion est, quant à elle, très importante pour comprendre l'avenir, le Marxisme, la publicité, le danger des monopoles, etc ... des sujets dont j'espère pouvoir parler plus tard).
Au final, grace à la concurrence, les produits sont vendu aux prix les plus justes.


On arrive donc à la fameuse main invisible d'Adam Smith. Il ne fait référence à cette main invisible qu'une unique fois dans cet ouvrage, partie 4 chapitre 2 :
Citation :

Le revenu annuel de toute société est toujours précisément égal à la valeur échangeable de tout le produit annuel de son industrie, ou plutôt c’est précisément la même chose que cette valeur échangeable. Par conséquent, puisque chaque individu tâche, le plus qu’il peut, 1° d’employer son capital à faire valoir l’industrie nationale, et 2° de diriger cette industrie de manière à lui faire produire la plus grande valeur possible, chaque individu travaille nécessairement à rendre aussi grand que possible le revenu annuel de la société. À la vérité, son intention, en général, n’est pas en cela de servir l’intérêt public, et il ne sait même pas jusqu’à quel point il peut être utile à la société. En préférant le succès de l’industrie nationale à celui de l’industrie étrangère, il ne pense qu’à se donner personnellement une plus grande sûreté ; et en dirigeant cette industrie de manière à ce que son produit ait le plus de valeur possible, il ne pense qu’à son propre gain ; en cela, comme dans beaucoup d’autres cas, il est conduit par une main invisible à remplir une fin qui n’entre nullement dans ses intentions ; et ce n’est pas toujours ce qu’il y a de plus mal pour la société, que cette fin n’entre pour rien dans ses intentions. Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il travaille souvent d’une manière bien plus efficace pour l’intérêt de la société, que s’il avait réellement pour but d’y travailler. Je n’ai jamais vu que ceux qui aspiraient, dans leurs entreprises de commerce, à travailler pour le bien général, aient fait beaucoup de bonnes choses. Il est vrai que cette belle passion n’est pas très commune parmi les marchands, et qu’il ne faudrait pas de longs discours pour les en guérir.

Si on lit trop vite, on peut considérer qu'Adam Smith défend là l'idée de laisser l'économie  en dehors de la politique et laiser chacun agir comme il le souhaite. C'est bien là une grosse erreur!
En réalité, Smith voulait ici dire qu'il fallait que notre système soit basé sur la liberté de chaque individu à être égoïste.

Pour Smith, un gouvernement (et non pas LE gouvernement), est indispensable pour plusieurs raisons :
+L'état doit investir dans les "externalités", c'est à dire les biens communs que personne n'achèterait soit même (pour prendre un exemple contemporain, qui financerait les routes et achêterait les réverbères? Qui financerait l'armée pour protéger le pays? ...)
+L'état doit plafonner le taux d'intérêt, pour éviter l'investissement à risque rendu attractif par un fort taux d'intérêt.
+L'état doit limiter les profits, pour éviter que les capitalistes, suivant leur propre intérêt à court terme, baisse les salaires pour augmenter les profits (mais ça j'y reviendrais si je vous parle un jour de théorie des jeux).
+L'état doit faire respecter des règles justes et communes pour maintenir le système où chacun est libre d'être égoïste (et non pas seulement les capitalistes). En particulier, Smith voulait qu'il n'y ai plus d'esclave. L'esclave coûte cher car il faut l'entretenir alors qu'il ne travail pas pour lui, donc fait du plus mauvais travail et ne participe pas à la consommation.

Si Smith ne faisait pas confiance au gouvernement, c'est parce qu'il savait que ce dernier se laissait dicter ses lois par les capitalistes, qui en particulier s'arrangeait pour que leurs prduits se vendent mieux que ceux de leurs concurrents et s'arrangeait pour se mettre d'accord sur les prix et détruire la concurrence.

Au final, Adam Smith, bien que cité par de nombreux capitalistes était en réalité un anti-capitaliste. D'ailleurs, comme on trouve sur la page wikipedia de son ovrage :
Citation :

Parmi les plus ardents promoteurs de Smith figurent ceux envers qui il appelait à la plus grande méfiance : les marchands et capitalistes. Selon Thomas Sowell, personne n’a formulé de dénonciations plus cinglantes que Smith à leur sujet, pas même Karl Marx. Smith lui-même ne favorise aucune classe dans la Richesse des nations, mais il y éprouve certainement une grande sympathie pour les pauvres et les consommateurs. Son message de foi dans les principes du marché se trouve détourné en une apologie du laissez-faire (Smith lui-même n’utilise jamais ce terme) et une hostilité dogmatique à toute intervention publique dans le but de promouvoir le bien-être général. Smith est bien sûr opposé au principe d’une manipulation étatique dans le mécanisme du marché (opposition à laquelle il admet des exceptions), mais n’est jamais confronté de son vivant au problème de l’État-providence, et de son effet net sur ce mécanisme : l’idée que l’action publique puisse dépasser les Poor Laws et que le prolétariat puisse avoir une voix dans les délibérations publiques est encore absurde pour son époque.




En résumé :
+Smith dit que nous devons avoir un modèle basé sur l'égoïsme de chacun.
+Smith dit que l'égoïsme, la division du travail et la concurrence parfaite permet de vendre les meilleurs produits au meilleur prix.
+Smith nous dit de nous méfier des capitalistes qui chercheront à manipuler le marcher pour se faire plus de profit à court terme, au détriment de la société.
Revenir en haut Aller en bas
https://dcfc.forumactif.org
MeitanteiEdogawa
A l'ombre des jeunes filles en fleur
MeitanteiEdogawa


Messages : 3264
Date de naissance : 08/09/1999
Date d'inscription : 23/03/2014
Age : 24
Personnage préféré : Kaori, Aya Tokiwa, Kousei, Mlle de Wittelsbach
Localisation : In meo loco.
Emploi/loisirs : Étudiante en histoire

Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. Empty
MessageSujet: Re: Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie.   Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. EmptyMar 8 Mai - 3:46

Félicitations pour le billet !

Grosso modo, ça résume ce qu'on doit tirer de Smith (= incitations indispensables, échange est un jeu où tout le monde est gagnant, rôle de l'État important mais controversé, facteurs de croissance). Bon, je connaissais déjà le monsieur, donc ça semble évident pour moi, à voir ce qu'en pense le néophyte en économie.

Néanmoins, je me permets quelques courtes objections et remarques (que je peux détailler, si tu le souhaites).

Je pense qu'il est intéressant de signaler que Smith a publié son ouvrage sur La Richesse des Nations en même temps que la Déclaration d'Indépendance des États-Unis d'Amérique, ce qui explique peut-être l'exergue mise sur la science économique, politique et le concept de la « main invisible ».

En outre, tu dis que la notion centrale est celle de l'égoïsme de chaque individu, mais j'aimerais réfuter cela ; au moins, le nuancer. En effet, il ne faut pas oublier que Smith a également publier La Théorie des sentiments moraux, dont je cite l'incipit : « Aussi égoïste que l'homme puisse être supposé, il y a évidemment certains principes dans sa nature qui le conduisent à s'intéresser à la fortune des autres et qui lui rendent nécessaire leur bonheur, quoiqu'il n'en retire rien d'autre que le plaisir de les voir heureux. »

Je crois bien que cette sympathie est également au cœur du mécanisme de marché, au-delà du simple égoïsme. D'ailleurs, Smith développe des règles de morale et de justice dans la suite de son ouvrage. Mais en fait, il s'agit de la grande contradiction de Smith, puisqu'il soutient tour à tour ces deux idéaux. Ce paradoxe est nommé « le problème d'Adam Smith » par l'économiste Eugen Oncken. Néanmoins, pour Smith, il n'y avait pas de problème puisqu'il publie une édition révisée de La Théorie des sentiments moraux après avoir publié La Richesse des nations et qu'on trouve simultanément les deux présentations dans les Lectures on Jurisprudence.

Après bon, lire La Richesse des Nations, c'est une entreprise assez folle. Plus de 900 pages de texte, c'est dur. Un des participants du 150e anniversaire de la publication de l'ouvrage nous dit d'ailleurs en plaisantant qu'il existerait quelqu'un qui ait lu l'ouvrage en lui-même et non des résumés. Cela nous est rapporté par Mark Blaug dans Economic Theory in Retrospect.

Mentionnons peut-être la plus grande erreur de Smith, qui est relevée par George Stigler, à l'occasion du bicentenaire de La Richesse des nations : la mesure parfaite de la valeur n'est pas la désutilité d'une heure de travail ordinaire. Smith pensait que le coût psychologique d'une heure de travail est plus stable que le plaisir psychologique de consommer une certaine quantité de bien. Cela est, on le conçoit, une grave erreur.

On peut d'ailleurs critiquer en vrac l'absence de la théorie de la demande (élude donc l'utilité subjective et le choix personnel), l'affirmation que le capital utilisé dans l'agriculture est plus productif que dans tout autre emploi (influence certaine des physiocrates), tout comme sa critique des dépenses de luxe (effet Veblen).

En outre, les présentations de l'épargne par Smith sont très confuses (« ce qui est épargné chaque année est aussi régulièrement consommé que ce qui est dépensé chaque année, et presque aussi vite, mais il l'est par d'autres catégories de gens »). Smith croit en outre aux « effets réels », dans le cadre de l'économie monétaire (= offre de monnaie endogène, donc émission de billets non inflationniste).

Évidemment, on peut critiquer, mais les erreurs sont rattrapées par le triomphe de l'installation de la science économique, de la rationalité des individus, l'explication des différences de salaire.


Dernière édition par MeitanteiEdogawa le Mar 8 Mai - 16:43, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Sacha
Détective
Sacha


Messages : 5518
Date de naissance : 28/09/1989
Date d'inscription : 23/03/2014
Age : 34
Localisation : Ici

Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. Empty
MessageSujet: Re: Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie.   Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. EmptyMar 8 Mai - 11:41

Je suis entièrement d'accord avec toi.

Pour ce qui est de l'égoïsme et de la morale, je voulais vraiment souligné la vision économique. Mais Smith était un philosophe, il était naturel qu'il se penche également sur le bonheur de faire plaisir. Mais je n'ai pas vraiment dit que l'égoïsme était la notion centrale, mais une des notions les plus importantes, car c'est cette notion qui va vraiment façonner la science économique plus tard.

Mais là dessus, je compte y revenir un peu plus tard, quand je parlerais de la notion d'utilité (qui elle prend en compte le plaisir de faire plaisir. Mais ça considère qu'on ne fait pas plaisir aux autres pour les autres, mais avant tout pour soi, pour sa propre satisfaction de voir les autres heureux). Et je compte tout particulièrement y revenir quand je parlerais de théorie des jeux dont on sent, dans la lecture de Smith, déjà un début d'idée de ce domaine, bien que loin de ce qu'on sera capable de faire plus tard.


Par rapport à ce qu'on connait aujourd'hui, il y a beaucoup de critique qu'on peut faire à Smith, mais ces critiques, dans la grande majorité, demandent des outils économiques qui n'étaient pas créés à son époque, et qui même ont été créés plus tard en s'appuyant sur ces travaux.

Si on retrouve aujourd'hui beaucoup de problématique en économie qui nous rappelle quelques avertissements de Smith, ce n'est pas là l'intérêt majeur de son ouvrage. Comme tu le dis, l'intérêt majeur est une réunion de multiples façon de visualiser l'économie atour de l’Europe, avec une critique constructive et une mise en place d'une rationalité économique qui permet appellation de "science".


Effectivement, lire la richesse des nations, c'est difficile. Il y a beaucoup de partie où on sait d'avance où il veut en venir (probablement grâce au recul qu'on a aujourd'hui sur l'économie) et il répète souvent la même chose. J'ai lu plus de 50% en diagonale, je le reconnais. En plus son écriture est assez lourde à lire. Lire des résumés à droite et à gauche n'est pas si simple non plus car il y a beaucoup de résumé qui cherchent à lire entre les lignes et donnent libre cours à leurs interprétations (et souvent ses résumés sont rédigés par des personnes n'ayant lu que des résumés).
Revenir en haut Aller en bas
https://dcfc.forumactif.org
Conan-Fab
PA Works fanboy
Conan-Fab


Messages : 3189
Date de naissance : 11/10/1985
Date d'inscription : 23/03/2014
Age : 38
Personnage préféré : Conan, Ai
Localisation : France
Emploi/loisirs : Admin du forum

Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. Empty
MessageSujet: Re: Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie.   Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. EmptyMar 8 Mai - 16:10

Intéressant comme billet, je pensais que Smith était un fervent capitaliste (cours de SES), du coup j'ai appris des choses avec vos posts. Je suivrai avec attention les prochains sujets.
Revenir en haut Aller en bas
https://myanimelist.net/profile/Conan-Fab
Sacha
Détective
Sacha


Messages : 5518
Date de naissance : 28/09/1989
Date d'inscription : 23/03/2014
Age : 34
Localisation : Ici

Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. Empty
MessageSujet: Re: Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie.   Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. EmptyMer 9 Mai - 10:25

Oui moi aussi je le pensais avant. J'ai était assez étonné quand j'ai lu.
Revenir en haut Aller en bas
https://dcfc.forumactif.org
Misao
Jiyuu no tsubasa de tsuyoku tobi datou
Misao


Messages : 4482
Date de naissance : 21/02/1998
Date d'inscription : 25/05/2017
Age : 26
Personnage préféré : Yona et Zeno
Emploi/loisirs : Pâtisserie

Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. Empty
MessageSujet: Re: Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie.   Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. EmptyMer 9 Mai - 13:37

Je ne connaissais pas du tout Adam Smith et du coup j'ai appris des choses, tant mieux ! Tant qu'à l'écriture elle est fluide et facile à comprendre.

Sacha a écrit:
Mais ça considère qu'on ne fait pas plaisir aux autres pour les autres, mais avant tout pour soi, pour sa propre satisfaction de voir les autres heureux)
Oui voilà pourquoi j'ai du mal à faire voir la réelle différence entre l'égoïsme et l'altruisme.

Citation :
Mais là dessus, je compte y revenir un peu plus tard, quand je parlerais de la notion d'utilité
Hâte que tu te penches dessus ^^
Revenir en haut Aller en bas
Sans-Atout

Sans-Atout


Messages : 1194
Date de naissance : 04/07/1999
Date d'inscription : 07/07/2017
Age : 24

Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. Empty
MessageSujet: Re: Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie.   Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. EmptySam 12 Mai - 19:01

Bon avec ma semaine d’absence j'ai pas mal de chose à lire mais ça a l'air sympa surtout que de base j'y comprends pas grand chose a l'éco
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. Empty
MessageSujet: Re: Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie.   Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Adam Smith, la richesse des nations et la main invisible de l'économie.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Détective Conan Fan Club :: Discussion générale :: Savoir :: Les fiches éco-
Sauter vers: